I.
Anatomie de l'activité
Par
activité de classe on entend généralement
tout ce qui peut être fait en classe par les étudiants,
et qui constitue une unité fonctionnelle du programme pédagogique.
Bien que les activités puissent varier à l'infini,
certains types tendent à revenir fréquemment, souvent
en fonction de l'approche et de la méthode employée.
Le terme ne remplace pas celui d'« exercice »,
que l'on définira restrictivement comme un type d'activité
reposant sur une manipulation mécanique du langage,
qui offre une latitude de choix restreinte ou nulle à l'apprenant.
En fait, les cours de langue se composent
d'un nombre relativement restreint d'activités fortement
récurrentes — et parfois fortement ritualisées
— transmises d'une génération à
l'autre sans que leur nature et leur objectifs soient forcément
très clairs ni bien compris par les professeurs qui les utilisent.
Qui veut élaborer une démarche didactique cohérente
doit donc commencer par examiner avec soin les activités
les plus communément employées pour en saisir tout
le sens et toute la portée, et éventuellement les
modifier.
Je propose d'analyser les activités
de classe selon les critères suivants:
-
ses objectifs,
déclarés ou implicites, apparents ou réels.
On prendra soin de distinguer ici les sept grands types
d'objectifs (de contenu, de compétence,
de concept, heuristique, de procédure,
d'expérience, de valeur), dont plusieurs
peuvent coexister dans une même activité.
-
la cohérence
de ces objectifs avec les buts
et les finalités du programme pédagogique. Si
par exemple l'une des finalités d'un cursus est de sensibiliser
les étudiants à une culture autre (en partant
du principe que langue et culture sont indisociables), on déterminera
si les activités mettent en valeur la dimension culturelle,
ou si au contraire elles tendent à la gommer au bénéfice
de manipulations purement linguistiques, auquel cas elles contrediraient
les finalités.
Il faut faire preuve de vigilance pour identifier les « activités
déguisées » dont les objectifs réels
diffèrent des objectifs apparents. Par exemple, on peut
déguiser un exercice de conjugaison du subjonctif en
activité communicative en créant un contexte:
donner des conseils à un ami qui a des problèmes,
en utilisant «Il faut que» («Si tu manques
d'énergie, il faut que tu fasses de l'exercice»).
Mais même le contexte le plus habilement élaboré
ne peut changer la nature de cette activité, qui reste
un exercice de conjugaison, alors qu'une activité véritablement
communicative encouragerait l'apprenant à utiliser diverses
formules, structures ou stratégies pour prodiguer des
conseils (ex: «Tu manques d'énergie? Et si tu faisais
de l'exercice?» «Lorsqu'on manque d'énergie,
il parait que l'exercice, ça aide beaucoup» «Il
me semble que tu manques d'énergie; tu pourrais faire
de l'exercice», etc.).
-
les rôles
des apprenants et de l'enseignant, et la nature des interactions
que l'activité met en oeuvre. L'enseignant interroge-t-il
les étudiants (tous les étudiants? un à
la fois? par groupes?) Guide-t-il l'activité de bout
en bout ou en confie-t-il partiellement ou complètement
la direction aux apprenants? (et dans ce cas, selon quelles
modalités?) L'enseigant est-il le point focal de la classe
lors de l'activité, ou y a-t-il décentralisation
(travail en groupes, focalisation sur un/des étudiants(s))?
-
le type
de tâche(s) demandée(s) aux apprenant: parler,
écrire, lire, faire de la recherche, dessiner, bouger,
écouter, prendre des notes.... Tous les apprenants doivent-ils
accomplir le même type de tâche, des tâches
diversifiées mais assignées avec précision
(l'un fait des recherches, un second prend des notes, un troisième
présente le résultat à la classe), ou encore
des tâches qu'ils peuvent choisir eux-mêmes? Chaque
apprenant doit-il accomplir une tâche unique, ou une séquence
de tâches (inventer un questionnaire; poser les questions
à ses camarades; noter les réponses; synthétiser
les réponses dans un texte narratif et le lire au reste
de la classe).
-
le matériel
employé: manuel, textes polycopiés, documents
authentiques (realia), vidéo, logiciels, etc.
Ce matériel est-il utilisé par les apprenants
ou seulement par l'enseigant? Est-il partagé par l'ensemble
de la classe (tout le monde regarde un même clip), par
des groupes (les apprenants travaillent par trois sur des cartes
routières), ou utilisé individuellement? Quelle
fonction le matériel prend-il dans l'activité?
Sert-il de support unique (texte à lire et déchiffrer),
d'illustration, de soutien (un prospectus de supermarché
sert à planifier les courses en vue d'un repas entre
amis).
-
la dimension
de l'activité: est-elle déterminée par
l'accomplissement d'un objectif (à partir d'un plan de
métro parisien, formuler trois itinéraires possibles
pour aller de la tour Eiffel à la gare de l'Est), d'une
procédure (répondre à une série
de questions; mettre au passé un texte au présent),
par une durée fixée arbitrairement?
-
le produit
de l'activité: oral et/ou écrit? Linguistique
et/ou gestuel, pictural, musical, concret (préparer un
plat)?
HAUT
II.
Composantes de l'activité
La grille ci-dessous
vous aide à récapituler les composantes que l'on peut distinguer
dans toute activité. Naturellement, il n'y aura pas toujours
d'objectifs immédiats, à moyen et à long terme pour chacun
des sept types différents; en revanche, chaque activité
devrait mobiliser plus d'une fonction communicative. Dans
la dernière case à droite, vous devriez définir chacun des
paramètres indiqués.
Nom
de lactivité |
Objectif(s)
immédiats |
Objectif(s)
à moyen terme |
Objectif(s)
à long terme |
Fonction(s)
communicative(s) mises en uvre |
Paramètres:
rôles communicatifs, nature des
interactions, type de tâche(s), matériel
employé, dimension, produit |
contenu,
compétence, concept, heuristique, procédure,
expérienciel, valeur |
|
|
|
|
|
|
III.
Mise au point de l'activité
Les paramètres
ci-dessus — dont la liste n'est naturellement
pas exhaustive — doivent être réglés
par l'enseigants en fonction de buts précis. Même
une activité « traditionnelle »
peut changer de nature grâce à certaines modifications
judicieuses: la vénérable dictée, par
exemple, peut se transformer en activité communicative
si on lui donne la forme d'une tâche accomplie dans
la réalité de la langue, comme de noter des
indications d'itinénaire données par téléphone.
Il faut absolument résister à la force d'inertie
qui fait considérer un type d'activité comme
« bon » ou « mauvais »
sans tenir compte du fait qu'il peut facilement être
paramétré de façon différente
en fonction des besoins; l'important est de laisser le moins
de place au hasard et au poids de l'habitude.
En conséquence,
il faut d'abord déterminer avec le maximum de précision
les objectifs qu'on veut atteindre. Le reste dépendra
de considérations logistiques (de combien de
temps, de quels matériels dispose-t-on?), d'un souci
d'équilibre et/ou d'articulation (varier
les rôles donnés aux étudiants, alterner
l'écrit et l'oral, les activités plutôt
divergentes et plutôt convergentes, sérier les
activités selon la difficulté, le passage de
l'individuel au collectif, du particulier au général,
ou vice versa), mais aussi d'ajustements à faire en
temps réel selon la réaction des apprenants.
Il faut être prêt à écourter ou
allonger l'activité, l'interrompre pour apporter des
précisions ou des éléments d'information
supplémentaires, en modifier les paramètres.
A)
La détermination des objectifs
Objectfs
au pluriel, car il est difficile d'imaginer une activité
qui n'en ait qu'un seul et unique, surtout si l'on tient compte
du fait que certains objectifs sont immédiats, d'autres
concernent le moyen terme (l'unité, la semaine, le
semestre) ou même le long terme (l'ensemble d'un cursus).
À plus long terme encore, les objectifs s'assimillent
aux finalités qui, si elle ne déterminent pas
absolument le détail de chaque activité, doivent
pourtant rester à l'esprit de l'enseignant dans un
souci de cohérence: si par exemple on veut mener les
apprenants à l'indépendance intellectuelle (finalité),
il sera bon d'incorporer à son programme pédagogique
un nombre suffisant d'activités dont les objectifs
recouvrent l'acquisition de cette indépendance.
La finalité des « cours
de langue », est souvent désignées
comme la capacité à s'exprimer et à communiquer
dans la langue cible, de manière à s'approcher
d'une compétence de natif (sinon à l'atteindre)
— ce que les non-spécialistes appellent
« parler (et écrire) couramment ».
Or, cette finalité est largement illusoire car elle
ne correspond à aucun objectif précis; c'est
pourquoi les échelles de proficience préfèrent
définir des paliers à atteindre en fonction
de capacités démontrées à accomplir
telle ou telle tâche langagière. Les activités
proposées aux étudiants devraient, dès
le cours de débutants, s'établir en fonction
d'objectifs définis selon des compétences de
type communicatif, en non pas linguistique, ce qui ne veut
pourtant pas dire que le cours se composera dans son intégralité
d'activités
communicatives. Il reste nécessaire d'incorporer
des activités plus convergentes et/ou plus mécaniques,
qui permettent de focaliser l'attention sur les formes, sur
les structures sémantiques et syntaxiques que les étudiants
doivent identifier et dont on veut leur faire saisir le fonctionnement
avec précision. Il faut surtout éviter de privilégier
exclusivement l'un ou l'autre type (exercice ou activité
communicative), ou de les hiérarchiser incorrectement
en présentant les exercices comme le vecteur nécessaire
de l'« acquisition des bases » alors
que les actvités constitueraient une sorte de récréaction,
ludique et relativement superflue, un délassement après
les séances d'exercices fatalement rébarbatives.
Même lorsqu'une activité
implique manifestement plusieurs objectifs, ceux-ci ne sont
pas forcément à atteindre simultanément
ni à un même niveau: il y en a de primaires,
de secondaires, d'immédiats, de différés...
Prenons l'exemple (volontairement) simpliste d'un exercice
structural qui consiste à mettre des phrases affirmatives
à la forme négative: «J'aime
la pizza aux ananas» ==> «Je n'aime
pas la pizza aux ananas».
De prime abord, cet exercice n'a qu'un objectif de procédure,
la négation en français s'opérant par
insertion de certains morphèmes (/ne/, /pas/) et la
transformation d'autres morphèmes (/et/ ==> /ni/,
/toujours/ ==> /jamais/) pratiquement sans aucune latitude
de choix (c'est généralement le cas pour la
morphologie).
Or, notre exercice structurel n'a pas de
but en soi, mais constitue l'un des fondements de plusieurs
compétences fonctionnelles ou communicatives: nier,
contredire, refuser, réfuter, juger, etc. Insistons
pour distinguer ces deux sortes de compétences sur
le fait que la négation, au sens strictement linguistique
(morphologique), n'est pas nécessaire, puisqu'on peut
nier, refuser, réfuter, juger sans y avoir recours.
Disons donc qu'un objectif de compétence fonctionnelle
consistera à faire utiliser à l'apprenant une
palette de possibilités syntaxiques et discursives
pour effectuer une tâche donnée. Alors que, d'un
point de vue strictement morphologique, il n'existe qu'une
possibilité de négation de «J'aime
la pizza aux ananas»
on peut facilement en envisager plusieurs d'un point de vue
pragmatique:
- « J'abomine
la pizza aux ananas. »
- « Mon
opinion sur la pizza aux ananas est plutôt défavorable. »
- « Oh,
moi, la pizza aux ananas... »
- « La
pizza aux ananas, quelle horreur! »
- « La
pizza aux ananas? Plutôt crever de faim! »
Notons que
dans les trois derniers cas, le rôle de la prosodie
est absolument crucial.
En
allant plus loin, on peut inscrire la négation dans
l'ensemble encore plus large des compétences
communicatives qu'il est possible de mettre en oeuvre,
y compris kinesthétiques — le hochement
de tête latéral sans prononcer un mot, une grimace
de dégoût — , les interjections
(« La
pizza aux ananas, pouah! »), ou même des stratégies discursives
et rhétoriques qui emploient la négation sans
se limiter à elle (« Je dois dire que la pizza aux ananas
ne fait pas partie de mes plats préférés »).
On retrouve ici la hiérarchie
des compétences, dont le niveau communicatif englobe
le plus large ensemble; si l'exercice
de négation a un sens, c'est bien dans l'élaboration
d'un répertoire de communication où de nombreux
éléments ne sont pas passibles d'exercices structurels,
parce qu'ils ne relèvent pas de la morpho-syntaxe:
les gestes et grimaces relèvent de la compétence
kinesthétiques, les interjections (« Pouah! »
« Beurk! »
« Miam! »)
relèvent à la fois de la compétence lexicale
et sociolinguistique, la négation sémantique
(abominer, défavorable) de la compétence lexicale,
et les autres solutions proposées des niveaux de compétence
discursive et rhétorique. Ajoutons-y la compétence
intonative,
qui consisterait à prononcer « J'aime la pizza aux ananas »
de façon
à faire comprendre que c'est l'inverse qui est vrai.
Pour aller encore plus loin, il faut
considérer que la négation prend souvent une
dimension proprement culturelle:
nier, contredire, refuser,
réfuter, juger négativement, etc. n'ont évidemment
pas la même valeur d'une société à
l'autre. Dans certaines, on considère extrèmement
impoli (ou pire...) d'exprimer une opinion simplement négative,
surtout pour contredire un interlocuteur. En France, c'est
plutôt le contraire, puisque la négation n'a
pas toujours un sens négatif: « Ce n'est pas mauvais, la pizza aux ananas »
est
une affirmation clairement méliorative, de même
que la double négation dans « Je
ne déteste pas la pizza aux ananas. ». Nous pouvons donc envisager
ici un objectif de concept, puisqu'il s'agit d'initier
les étudiants à la négation non plus
en tant que trait morphologique, mais bien en tant qu'outil
de découpage du réel propre au français
hexagonal; quand, pourquoi, à propos de quoi, avec
qui, etc. (n')utilise-t-on (pas) la négation? Et avec
quel effet? En France (mais pas au Québec ni au Sénégal…)
il est poli de refuser au moins une fois toute proposition
d'aide; si donc on offre ses bons offices (« Vous
voulez que je vous raccompagne? » « Je
vais au supermarché, tu as besoin de quelque chose? »
« Ce soir c'est moi qui t'invite! »)
et que le/a bénéficiaire refuse, il est entendu
que ce refus n'a rien de définitif, et se transformera
peut-être en acquiescement lorsque la demande est réitérée
une, voire deux fois. Ne pas insister, dans ce cas (c'est
différent si l'on propose qqch qui n'est pas forcément
bénéfique ou avantageux pour l'autre), c'est
contrevenir à une règle du code social français.
Au passage, on contribuera à
l'élaboration d'un autre concept, linguistique celui-là:
le rapport entre la morpho-syntaxe et le lexique avec l'acte
de parole. On constate ici que la négation en tant
qu'acte est divorcée de la forme négative de
l'énoncé. Certains énoncés portant
la marque morphologique du négatif ont une valeur d'affirmation
(la célèbre litote de Chimène dans Le
Cid, «Va, je ne te hais point!»), alors
que d'autres ont valeur de négation sans en porter
la marque (« Je hais les voyages et les exporateurs »,
célèbre incipit de Tristes Tropiques
de Claude Lévy-Strauss), et qu'on peut exprimer un
sens similaire par le lexique (mots à préfixe
privatif comme « défavorable »,
« abominer », « impossibilité »)
ou même de manière non verbale (par le geste,
la grimace).
Pour résumer, on peut
établir une grille où l'on fera figurer en ordonnée
les types d'objectif, et en abscisse la progression de l'immédiat
au long terme; naturellement, certaines cases vont rester
vides (il y a peu d'objectifs de valeur à court terme,
peu d'objectifs de procédure qui dépassent le
court terme). À partir des exemples donnés ci-dessus,
on pourra commencer à la remplir comme suit:
type d'objectifs |
immédiats |
à moyen terme |
à long terme |
procédure |
passage du déclaratif
positif au négatif |
|
|
compétence morpho-syntaxique
compétence lexicale
compétence discursive
compétence rhétorique
compétence socio-linguistique
compétence culturelle
compétence stratégique |
maîtrise
des formes diverses du négatif |
usage de diverses
formes du négatif pour nier,
contredire, refuser, réfuter, juger, etc. |
usage de diverses
stratégies pour nier,
contredire, refuser, réfuter, juger, etc. |
contenu |
(...) |
(...) |
la valeur culturelle de la négation
en France |
concept |
(...) |
la négation, acte de parole
vs. le négatif, marque morphologique |
(...) |
heuristique |
(...) |
apprendre systématiquement
diverses stratégies pour un même type d'acte
de parole |
(...) |
expérience |
(...) |
(...) |
(...) |
valeur |
(...) |
(...) |
comprendre
que l'utilisation de formes de négation ne reflète
pas forcément une « attitude négative » |
HAUT
|
B)
Le paramétrage de l'activité
Une
fois ces objectifs identifiés et organisés,
on peut commencer à songer aux activités qui
vont permettre de les atteindre (au moins théoriquement);
or, il existe des centaines d'activités possibles dont
la masse peut décourager ou décontenancer l'enseignant,
qui risquera de succomber à des réflexes aux
conséquences fâcheuses:
- choisir
les activités un peu au hasard
- recourir
systématiquement à un type d'activité
(toujours le même) pour un type d'objectif
- se restreindre
à un petit nombre d'activités familières
(en restant dans sa « zone de confort »)
- mettre
en oeuvre des activités qui, en fait, ne facilitent
pas l'atteinte des objectifs recherchés
Plutôt
que de chercher à répertorier une à une
toutes les activités possibles et imaginables, il vaut
évidemment mieux tenter d'en saisir les paramètres,
les variables qui les constituent et que l'enseignant peut
manipuler, en nombre beaucoup plus restreint. Une
vision conventionnelle tient pour acquis que chaque activité
ou exercice a une forme fixe et constitue un tout. En réalité,
l'activité et l'exercice comporte toujours des éléments
constitutifs susceptibles d'être modifiés ; l'ensemble
de ces « réglages » permet de moduler l'activité
presque à l'infini, et donc la varier et/ou l'adapter
à une situation particulière. Il s'agit donc
de déterminer quels sont les paramètres modifiables
et quelles modifications sont envisageables.
Certains éléments toujours présents sont
manifestement sujets au paramétrage:
1.
Le facteur temps: combien dure l'activité
? Si l'activité comprend a priori plusieurs composantes,
combien de temps chaque composante dure-t-elle ?
2. Les participants: activité individuelle,
en paire, en groupe;
3. La nature de l'interaction entre les
participants : cumulative (tous les participants
font tour à tour la même chose), complémentaire
(chaque participant fait qqch de différent), collaborative
(tous les participants font la même chose en commun).
4. Si l'activité se fait à l'oral
et/ou à l'écrit (et si l'oral
précède ou suit l'écrit)
5. Le support (visuel, textuel, auditif)
de l'activité.
|
HAUT
|